🎏 Apprendre À Faire Des Crêpes En Bretagne
Unatelier crêperie pour apprendre à faire ses crêpes à Saint-Quay-Portrieux. Manger des crêpes en Bretagne, c’est facile, les faire, c’est une autre affaire ! Investir la cuisine d’une crêperie, apprendre à tourner la pâte et faire ses crêpes dans les règles de l’art (breton), un atelier tradition et gourmand inoubliable.
Lesformations de bases sont : pratique du Métier de Crêpier (70 h) Pratique du Métier de Pizzaïolo. Les perfectionnements en Crêperie Gastro et Crêpes du Monde. La restauration rapide : le Snacking-Breizh, la Gaufrerie, la Quicherie-tarterie, la Saladerie, les Pâtes fraîches et un nouveau module : cuisine sans gluten. Crêpes au logis.
Unstage pour apprendre à faire des crêpes est organisé, jeudi et vendredi, aux halles. Au programme, jeudi, dès 10 h, fabrication des pâtes (salées et sucrées), discussion sur le matériel
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LeGRETA de Bretagne Occidentale (Quimper), tombe alors bien à propos par son annonce : recherche formateur en crêperie ! En 1991, les formations longues de 6 mois démarrent. Sans aucun support pédagogique, nuit
Leurfaire plaisir (parce que disons le, les crêpes, ça fait toujours plaisir non?), échanger un moment convivial avec eux, et aussi voir leur réaction est toujours un moment très sympa :-). La nourriture rassemble et tisse des liens par delà les différentes cultures, et par delà nos différences. En ce qui me concerne, j’ai choisi les crêpes!
Voussouhaitez simplement apprendre à faire des crêpes ou vous former de manière professionnelle, n'hésitez pas à venir vous inscrire à une de nos formations. Il y a en a pour tout le monde. Nous venons de mettre à jour le calendrier des prochains mois.
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Larecette de la pâte, sa liquidité, le choix de la farine et ensuite la posture du crêpier sont autant de facteurs pour réussir de bonnes crêpes et galettes. Même s’il existe « une recette de pâte par clocher breton », Jean-Philippe Moy en propose deux, très simples, pour le plat salé (les galettes) et pour le dessert (les crêpes).
5VQv1c8. Cela ne doit pas être tout à fait un hasard si j’attends l’hiver, en pleine période de grisaille, pour trier enfin mes photos de vacances en Bretagne. Après avoir été jusqu’au bout du monde chez Monsieur Papier, je reprends ma série de billets spécial Finistère Sud avec 10 choses à faire, à voir, à goûter à Quimper oui la proportion de choses à manger est légèrement disproportionnée par rapport au reste . Vous me suivez ? 1-Longer l’Odet Avant de pénétrer dans le coeur historique de Quimper, nous avons longé l’Odet de ponts en ponts fleuris admirant les fortifications de la ville et repérant une adresse Le Sistrot, bar à cidres et restaurant où tout semble délicieux, pour une prochaine fois. 2- Flâner autour de la Cathédrale On avait l’idée de flâner sans but dans les rues aux alentours de la cathédrale quand les enfants ont remarqué dans la cour du musée Breton, une initiation au golf dans le cadre du festival Les enfants sont des princes » des animations gratuites pour les enfants dans divers points de la ville. Je me suis quand même éclipsée pour aller jusqu’à la rue Kéréon qui est non seulement charmante mais accueille deux adresses gourmandes les macarons de Philomène et le chocolatier C. Chocolat. C. Chocolat 17 Rue Kéréon 29000 Quimpert eh oui j’ai craqué 3-Ramener des céramiques de Cornouailles La faïence est à Quimper, ce que le nougat est à Montélimar. Vous pouvez même en apprendre plus sur l’histoire de la faïence en visitant le musée de la faïence. Ce n’est pas forcément le type de vaisselle que je verrais chez moi et puis en voyageant sans voiture c’est un peu compliqué mais il y a plusieurs beaux magasins consacrés à cet artisanat dans Quimper. 4-Se balader autour de la place au beurre 5- S’attabler à la crêperie La Krampouzerie A un moment donné, tout le monde a crié famine et il a fallu trouver vite un endroit où se sustenter. J’avais repéré quelques adresses avant de venir et nous sommes retournés sur la place au beurre à la crêperie la Krampouzerie. En plein mois d’août, sur une des places les plus célèbres de Quimper, nous n’étions pas tout seuls loin de là. Je ne sais pas s’il y autant de tables hors saison mais là, sans tendre l’oreille, j’avais l’impression de manger avec mes voisins et le volume sonore dans la salle était élevé. Malgré cela, je vous recommanderais cette crêperie hors saison, si vous avez la possibilité de voyager en dehors des vacances scolaires pour la qualité des produits utilisés, la composition de la carte on y trouve des galettes très traditionnelles et d’autres plus originales et pour la saveur des crêpes et des galettes. Je n’ai pas noté la composition de ma crêpe salée la suggestion du jour mais elle était aussi délicieuse que ma galette de blé noir garnie de caramel au gingembre. La Krampouzerie rue du Salé Place au Beurre 29000 Quimper 6- S’offrir une bouffée d’exotisme au jardin de la Retraite Dans la série nous sommes bourrés de contradictions », on aime bien le tourisme urbain et une fois dans les villes, on part systématiquement à la recherche des jardins. C’est ainsi que nous avons atterri au jardin de la Retraite. Celui-ci a la particularité d’être très calme car protégé de la ville par de grands murs. Une fois en son sein, on a vraiment l’impression d’être ailleurs du fait de sa végétation palmiers, plantes à feuilles tropicales. 7-Suivre un des circuits piétonniers pour découvrir Quimper Pour éliminer les galettes, nous avons poursuivi notre exploration de Quimper en suivant, sans trop de discipline, les parcours suggérés dans une brochure par l’Office du Tourisme, découvrant au passage, façades colorées, jolies places et halles à cette heure là quasi désertes. 8-Rêver dans le jardin du Prieuré de Locmaria Nous avons pris ensuite la direction du quartier de Locmaria je crois qu’on avait déjà largement dépassé les 10 000 pas par jour préconisés pour une pause bucolique dans le jardin du prieuré situé au bord de l’Odet. Il a été pensé dans l’esprit des jardins de monastère à l’époque d’Anne de Bretagne aussi bien dans son aménagement intérieur que par les plantes aromatiques et médiévales que l’on peut y trouver. Comme vous pouvez le constater, il n’y avait pas grand foule et nous avons pu nous assoir près de la fontaine sous le kiosque pour écouter le bruit de l’eau doucement clapoter. 9-Assister à la fabrication des crêpes dentelles A quelques pas de là, toujours dans le quartier historique de Locmaria, on est passé par la biscuiterie de Quimper où l’on peut assister à la fabrication en direct des crêpes dentelles. Sur une plaque très chaude, une pâte qui semble aussi liquide qu’une pâte à crêpe est versée avant d’être découpée en bandes qu’il faut enrouler autour d’une spatule. Ma fille voulait essayer mais il vaut mieux avoir le coup de main pour ne pas se brûler. Biscuiterie de Quimper 8 Rue du Chanoine Moreau 29000 Quimper 10 – Goûter les pâtisseries des macarons de Philomène Enfin quand on a comme idée de s’offrir un tour de France des adresses sucrées, il n’est pas concevable de repartir de Quimper sans quelques unes des pâtisseries proposées par la boutique Les macarons de Philomène. Comme son nom l’indique, la grande spécialité de la maison ce sont les macarons qui sont assez différents de ceux qu’on trouve habituellement d’abord ils existent en grande taille » et la ganache -en tous cas celle au caramel- est beaucoup plus crémeuse. Si jamais vous lisez ce billet et que vous connaissez cette boutique, j’aurais besoin de votre aide pour retrouver le nom de la pâtisserie au chocolat en dessous de l’inconvénient d’écrire mes billets de voyage, 6 mois après. L’éclair aux fruits rouges était bien parfumé mais je me souviendrais surtout de ce macaron géant à la coque à la fois croquante et moelleuse et à la garniture très généreuse. Macarons de Philomène 13 Rue Kéréon 29000 Quimper Décrochage voyageurs sans voiture » depuis Douarnenez, le bus 51 du réseau Penn-Ar-Bed fait la navette jusqu’à Quimper ce qui est bien pratique, en dehors du fait de visiter la ville, puisque les trains depuis Paris, s’arrêtent à Quimper. Le trajet dure environ 45 minutes et coûte 2 euros € pour les moins de 25 ans . Vous connaissez Quimper ? que rajouteriez vous dans cette liste de 10 choses à faire, à voir, à goûter à Quimper ?
Un atelier crêperie pour apprendre à faire ses crêpes à Saint-Quay-Portrieux. Manger des crêpes en Bretagne, c’est facile, les faire, c’est une autre affaire ! Investir la cuisine d’une crêperie, apprendre à tourner la pâte et faire ses crêpes dans les règles de l’art breton, un atelier tradition et gourmand inoubliable. A la Crêperie du Port, Géraldine propose des ateliers. Mon rendez-vous est pris. Le jour J, elle m’attend, tout sourire. Depuis la terrasse, la vue sur la plage et le port est splendide. A l’intérieur, ça sent bon, c’est cozy et sans chichi. Une armoire de grand-mère abrite des produits locaux bières, cidres, confitures, caramel, jus de pomme… hummm, je savoure déjà !Avant l’effort, le réconfort. Je déjeune galette traditionnelle, salade, cidre et petit café avant de m’attaquer aux choses sérieuses. Et me voici en cuisine. J’enfile mon tablier et, pendant que ma main explore la pâte à crêpe, Géraldine me présente les ingrédients, m’explique l’histoire et la culture de la graine de sarrasin en Bretagne pour les galettes, le matériel traditionnel requis bilig, rozell et spatule. Elle me livre généreusement quelques secrets et la leçon de tour de crêpe peut commencer. Le bilig chauffe et la fumée se pose sur mes lunettes [Rires]. Après avoir observé du coup sans lunettes mon mentor, je déverse la pâte. La main tremblante si si j’ai la pression !, je réalise mon tour de main et argh… Elle est pleine de trous ! [Rires] Tant pis, les crêpes napperon » se mangent quand même. Géraldine m’encourage et hop, deuxième essai. Celle-ci est enfin présentable. Un recto/verso à la spatule, une touche de beurre et mon œuvre est prête à être dégustée ! Sucrée/salée, j’ajoute au choix sucre, confiture, glace, caramel… parce que je le mérite bien et que la touche finale a son importance, c’est la cerise sur la crêpe » !Géraldine me décerne un diplôme, celui qu’elle remet aux meilleurs apprentis crêpiers. Et voilà, j’ai appris et je sais faire les crêpes ! Je dégusterai avec fierté les crêpes que j’ai dans mon panier et certainement plein d’autres encore. Prochaine étape ? Une coiffe peut-être… Manon Quinocéenne depuis peu Envie de lire d’autres témoignages ?
L’histoire de la crêpe bretonne La crêpe sous toutes ses formes La crêpe marque son empreinte au fil des siècles coutumes, légendes et traditions font partie de notre histoire. À travers ces exemples si significatifs de l’usage des crêpes et galettes dans nos campagnes bretonnes, nous prenons conscience de leur rôle prépondérant dans la vie quotidienne de nos aïeuls. Pour nous en convaincre plus encore, il suffit de nous rappeler ces images d’enfance de nos grands-mères, courbées dans l’âtre, en sueur au-dessus de la tuile fumante, nous contant ces histoires d’antan qui mêlent si bien légendes et traditions. Ainsi était-il d’usage dans le pays de Tréguier de mettre de côté la dernière crêpe ou krassen » sèche et grillée pour le lutin de la maison, sous peine de voir le malheur s’abattre soudainement sur la demeure. L’usage, toujours, voulait qu’à la Toussaint l’on mangeât des crêpes de blé noir en prenant soin de garder la part des morts », et l’on voyait les enfants aller de village en village, munis d’une sonnette pour quêter la crêpe des trépassés ». Tendez encore l’oreille et écoutez ce barde qui rêvait de construire sa chaumière avec un toit tout de crêpes recouvert. Et cet autre là-bas qui, traduisant Le Corbeau et le Renard en langue bretonne, eut tôt fait de remplacer le banal fromage par une galette bien épaisse… KrampouzL'invention du bilig Dans le même laps de temps, le bilig ne sera plus chauffé au bois, devenu rare et cher. En 1949, Jean-Marie Bosser, à la suite d’une demande de sa belle-sœur, inventa le bilig au gaz. L’idée de départ était de fabriquer un réchaud pour supporter une lessiveuse. Mais très vite, en le couvrant d’une plaque en fonte, son utilité première devint l’invention du siècle pour les Bretonnes ! Cette première version sera commercialisée par sa société Krampouz, suivie rapidement du double réchaud permettant de confectionner deux crêpes à la fois. Par la suite, l’électricité apporta aux faiseuses de crêpe le confort attendu. Article Bretagne Bretons Moulin de l'écluseLes frères LE RHUN Pour ma part, je fabrique mes crêpes avec les farines du Moulin de l’écluse à Pont-l’Abbé, capitale du pays bigouden. L’histoire débute en 1933. La famille Larnicol achète le moulin. Monique Larnicol se marie avec Émile Le Rhun, l’activité se perpétue ainsi jusqu’à aujourd’hui et certainement demain avec une 4ème génération. La construction du moulin daterait de la fin du XVII siècle, une pierre trouvée sur les lieux datant de 1776 en fait foi. À cette époque, il était rattaché à l’abbaye de Kernot, à Quimper. Minoterie familiale depuis trois générations, Pierrick et Arnaud Le Rhun, meuniers passionnés, respectent le savoir-faire transmis par leurs parents. Ils fabriquent des farines de qualité grâce à leur procédé de mouture, au moulin à eau et à la meule à l’ancienne leurs farines, subissant un moindre échauffement, préservent leurs saveurs et leurs richesses en vitamines. Des farines de qualité depuis 1933 Minoterie familiale depuis trois générations, Pierrick et Arnaud Le Rhun, meuniers passionnés, respectent le savoir-faire transmis par leurs parents.
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